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Résultats d'enquêtes réalisées en 2018 dans 5 départements du Sud-Ouest auprès d’éleveurs, propriétaires et collectivités engagés dans le pâturage de surfaces additionnelles (vignes, couverts végétaux, surfaces en déprise, vergers).

Après la récolte des fruits, les brebis consomment l’herbe des inter-rangs et les pommes tombées au sol. Des règles de conduite sont à respecter afin de préserver les arbres.

L’herbe qui pousse à l’ombre des noyers est de bonne qualité pour les brebis. Le pâturage maitrise l’enherbement et limite le nombre de broyages.

Les couverts végétaux sont pâturés par les brebis en automne et en hiver. La biomasse disponible reste cependant très liée à la pluviométrie estivale.

Guide pratique destiné aux porteurs de projet, élus, propriétaires et éleveurs souhaitant développer un projet de pastoralisme sur un territoire.

Pour un équilibre gagnant gagnant autour du pâturage ovin dans les vergers, vignes et céréales. Les points de vigilances, les préconisations pour aboutir à un protocole d’accord.

Dans les élevages laitiers des Pyrénées-Atlantiques, la mise en pension est une tradition. D’octobre à mai, les brebis valorisent l’herbe de fin d’automne et la première pousse de fin d’hiver.

Les surfaces pastorales sont constituées d’une grande diversité de milieux : herbe, broussailles, arbres. En les pâturant, les brebis entretiennent ces milieux à l’abandon.

Le pâturage hivernal des vignes par les brebis revient au goût du jour. Elle limite les opérations d’entretien dans l’inter-rang et augmente la proportion de légumineuses.

Le pâturage maîtrise l’enherbement et limite le nombre de broyages. Les arbres doivent être protégés ou de taille suffisante afin de ne pas être endommagés par les brebis.